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, En d'autres termes, et comme l'avait déjà pointé Foucault, les nouveaux modes de gouvernemantalité ne remplacent pas l'ancien modèle disciplinaire, mais s'y ajoutent, s'y combinent. Voir également la conclusion de l'ouvrage de Lise Demailly

, Approche sociologique des métiers et activités professionnelles relationnelles, Lille, Presses Universitaires du Septentrion, 2008.

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, on compte 76 % en « HO classique », 12,5 % en « HO judiciaires » et 11,5 % « détenus » (sous écrou). Tournier (Pierre-Victor), « Unités pour malades difficiles », Opale-Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales, vol.2, pp.101-103, 2011.

, Malochet (Guillaume), « Soigner, évaluer, contrôler. Les dilemmes des soignants en prison, Je renvoie ici notamment à Le Bianic (Thomas)

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(. Dubret and . Gérard, La pétition milite pour le renforcement des Unités pour malades difficiles (UMD), afin de prendre en charge les malades difficiles en amont de l'incarcération, pour éviter celle-ci, Elle dénonce également la stratégie ségrégative et stigmatisante des UHSA

, Sur ce point, voir notamment Lise Demailly, Sociologie des troubles mentaux, 2011.

(. Hirsch and . Martin, Au possible nous sommes tenus. Rapport de la Commission « Familles, vulnérabilité, 2005.

. Dubret, « Les UHSA, une fausse bonne idée ? », colloque Santé et prison, dix ans après la loi, quelles évolutions ?, 2005.

, Il faudrait évidemment néanmoins nuancer le propos, en menant une étude sociologique comparée des différentes UHSA, très diverses selon leurs projets

, Dorénavant, les personnes condamnées à une peine de réclusion criminelle d'une durée égale ou supérieure à quinze ans pour les crimes, commis sur une victime mineure, d'assassinat ou de meurtre, de torture ou actes de barbarie, de viol, d'enlèvement ou de séquestration, de même que pour les crimes, commis sur une victime majeure, d'assassinat ou de meurtre aggravé, de torture ou actes de barbarie aggravés, de viol aggravé, d'enlèvement ou de séquestration aggravé, pourront, à l'issue de cette peine, La loi relative à la rétention de sûreté et à la déclaration d'irresponsabilité pénale pour cause de trouble mental a été promulguée fin février, 2008.

, Certains dysfonctionnements sont dus à une absence d'informations partagées entre le Spip, la prison, le milieu ouvert et la médecine. Comment un conseiller peut-il suivre une personne soumise à sursis et mise à l'épreuve, s'il ne connaît pas toute son histoire pénale, son état de santé ? Est-elle suivie médicalement ? A-t-elle un traitement ?, « Nous créerons un nouvel établissement pénitentiaire, un hôpital prison pour les agresseurs sexuels nécessitant des soins psychiatriques. L'effort est considérable

«. Michel-mercier-annonce, un effort exceptionnel" pour la justice », 2011.

. Hulsman, Bernat de Celis (Jacqueline), Peines perdues. Le système pénal en question, 1982.

, Guillain (Christine), La peine dans tous ses états. Hommage à Michel van de Kerchove, Chantraine (Gilles), « Les prisons sont-elles civilisées ? », in Tulkens (Françoise), Cartuyvels (Yves), pp.219-235, 2011.

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, Le soin sous pression

L. Criminocorpus, SMPR de Marseille a 30 ans : Histoire et engagement, regards croisés, 2012.