F. , Lettres de la révérende mère Marie de l'Incarnation (née Marie Guyard), première supérieure du monastère des Ursulines de Québec, 1959.

, L'ordonnance interdit aux Français de sortir ou abandonner leurs maisons et vaguer dans les bois plus de vingt-quatre heures sans permission expresse du gouverneur. Cette ordonnance sera complétée par deux autres : la première, du 15 avril 1676, défend d'aller à la traite des pelleteries dans les habitations des sauvages et la seconde, du 12 mai 1678, défend d'aller à la chasse hors des terres défrichées, Traité de droit administratif, p.66, 1956.

. Anom,

. Idem,

, A partir de 1700, des ordonnances viennent à nouveau interdire ou limiter la vente et la consommation d'alcool et un durcissement de la répression peut être observé plus clair de ce point de vue : « Pour mettre a execution les intentions de sa Majesté qui veut et entend que lesdits sauvages vivent avec les naturels sujets dans un esprit de douceur et d'union ». C'est, en d'autres mots, à Versailles que se prennent les décisions et Colbert, promu en 1669 par le roi secrétaire d'État de la Marine, Cet arrêt ne marque pas pour autant la fin de la question des boissons enivrantes

, « Les Amérindiens face à à la justice coloniale française dans le gouvernement de Québec, vol.34, pp.31-42, 2004.