Danser en temps de crise épidémique: quelques notes empiriques dans les aires inter culturelles (Asie/Occident et Inter-Asie)
Résumé
How was the lockdown experienced across the world by the Performing Arts? If there was a massacre: cancellations, closures of all kinds... the artists continued to invent, to make us dream, to make us vibrate. This work invites us on a journey during which internal troubles as well as societal problems are expressed, as well as fear, anguish as well as the desire for a different world, the desire to build a warm tomorrow. Here are testimonies from China, Taiwan, Singapore, South Korea, Hong Kong, Japan, Oceania, the Caribbean, Brazil, Argentina, Egypt, Tunisia and Europe. Beyond differences, common concerns echo each other.
For my part, I contributed to it with a book chapter - through an empirical study of Asian classical dance practices in times of confinement: Russia, South Korea, China, Hong Kong, Singapore...
This work gave rise to numerous conferences and workshops where students were able to combine their knowledge in theory and practice, to better understand the impact of confinements on the dancing body in a comparative intercultural approach.
Integration into the following lessons:
Course Critical approach to somatic practices in Dance Degree, UFR Humanity
Undergraduate Dance Specialty Course (theory and practice), UFR STAPS
Dans la même lignée d’ appuie empirique, évoqué plus haut (ma propre corporéité de danseuse par une de mes pratiques depuis des 14 ans en parallèle avec celle de danse contemporaine). Le chapitre propose une réflexion incarnée à partir d’une expérience subjective de leçon de danse classique en ligne, avec corpus choisi à l’injonction France/Inter-Asie, pour mieux comprendre l’émergence et l’intervention sur une autre corporéité insolite, celle des danseur/e/s en temps de confinement pendant la période du Covid-19)
Comment le confinement a-t-il été vécu à travers le monde par les Arts du spectacle ? S’il y eut une hécatombe : annulations, fermetures de toutes sortes… les artistes ont continué d’inventer, de nous faire rêver, de nous faire vibrer. Cet ouvrage nous invite à un voyage au cours duquel s’expriment aussi bien les troubles intérieurs que les problèmes des sociétés, aussi bien la peur, l’angoisse que la volonté d’un monde différent, le désir de construire des lendemains chaleureux. Voici donc des témoignages de Chine, de Taïwan, de Singapour, de Corée du Sud, de Hong Kong, du Japon, de l’Océanie, des Caraïbes, du Brésil, de l’Argentine, d’Égypte, de Tunisie et d’Europe. Au-delà de différences, des préoccupations communes se font écho.
Pour ma part j’y ai contribué avec un chapitre d’ouvrage — par étude empirique des pratiques de danse classique d’Asie en temps de confinement : Russie, La Corée du Sud, La Chine, Hong Kong, Singapour…
Ce travail a donné lieu à des nombreuses conférences et ateliers de réflexion où les étudiants/e/s ont pu croiser leurs connaissances en théorie et en pratique, pour mieux saisir l’impact des confinements sur le corps dansant dans une approche comparative interculturelle.
Intégration dans les enseignements suivants :
Cours Approche critique des pratiques somatiques en Licence Danse, UFR Humanité
Cours Spécialité Danse en Licence (théorie et pratique), UFR STAPS