La mécanique à ciel ouvert. Un travail de subsistance dans les quartiers populaires
Résumé
The informal activities of street mechanics observed by Collectif Rosa Bonheur in northern France attest to a much larger subsistence economy at the margins of employment. According to this research collective, the spatial anchoring of these activities, on the borderline of informality, invites us to consider spaces that are often perceived as peripheral and relegated as “working-class centralities.”
Les activités informelles de mécanique de rue observées par le Collectif Rosa Bonheur à Roubaix témoignent d’une économie de subsistance bien plus vaste aux marges de l’emploi. L’ancrage spatial de ces activités situées à la frontière de l’informalité invite selon ces chercheur·e·s à considérer comme des « centralités populaires » des espaces souvent perçus comme périphériques et relégués.
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