Assessment of t-cell polarization on the basis of surface marker expression: diagnosis and potential therapeutic implications in lymphocytic variant hypereosinophilic syndrome
Emmanuel Ledoult
(1)
,
Matthieu Groh
,
Jean-Emmannuel Kahn
,
Jacques Trauet
(2)
,
Jean-David Bouaziz
,
Aurelie Caristan
,
Vincent Cottin
,
Sylvain Dubucquoi
(2)
,
Nicolas Etienne
,
Cecile Golden
,
Perrine Guillaume-Jugnot
,
Eric Hachulla
(1)
,
David Launay
(1)
,
Irene Machelart
,
Adele de Masson
,
Thomas Molinet
,
Chafika Morati-Hafsaoui
,
Marie Puget
,
Mathilde Roumier
,
Louis Terriou
(2)
,
Bertrand Meresse
(2)
,
Arnaud Dendooven
(2)
,
Marie-Christine Copin
,
Romain Dubois
,
Myriam Labalette
(2)
,
Guillaume Lefevre
(2)
Matthieu Groh
- Fonction : Auteur
Jean-Emmannuel Kahn
- Fonction : Auteur
Jean-David Bouaziz
- Fonction : Auteur
Aurelie Caristan
- Fonction : Auteur
Vincent Cottin
- Fonction : Auteur
Nicolas Etienne
- Fonction : Auteur
Cecile Golden
- Fonction : Auteur
Perrine Guillaume-Jugnot
- Fonction : Auteur
Eric Hachulla
- Fonction : Auteur
- PersonId : 1366882
- ORCID : 0000-0001-7432-847X
- IdRef : 031788866
Irene Machelart
- Fonction : Auteur
Adele de Masson
- Fonction : Auteur
Thomas Molinet
- Fonction : Auteur
Chafika Morati-Hafsaoui
- Fonction : Auteur
Marie Puget
- Fonction : Auteur
Mathilde Roumier
- Fonction : Auteur
Marie-Christine Copin
- Fonction : Auteur
Romain Dubois
- Fonction : Auteur
Résumé
Lymphocytic variant hypereosinophilic syndrome (LHES)-associated CD3−CD4+ T cells in blood homogeneously express chemokine receptors associated with TH2 polarization (CCR6−CCR4+)—even if the patients are treated with steroids. New treatment strategies such as CRTh2 antagonists and anti-CCR4 antibody could be considered in severe LHES.