Investigating the impact of time-of-day on glycaemia in response to postprandial supramaximal sprints in adults with type 1 diabetes.
Résumé
Objectives
In this study we explore the impact of postprandial exercise timing (morning vs evening) on glycemia in individuals with type 1 diabetes (T1D) during short all-out sprints on a cycle ergometer.
Methods
Ten healthy physically sedentary male (n=7) and female (n=3) volunteers with type 1 diabetes, 22.8±2.8 years of age, and with a diabetes duration of 9.7±5.5 years and glycated hemoglobin level of 8.6±1.2%, underwent comprehensive screening and assessment of their physical health and fitness status before study participation, under the guidance of a physician. Each participant underwent 2 postprandial exercise sessions on separate days: the first in the morning at 8:00 AM and second in the evening at 8:00 PM, both conducted 60 minutes after a standardized meal.
Results
Morning exercise showed a less pronounced reduction in plasma glucose (PG) levels compared with evening exercise (−2.01±1.24 vs −3.56±1.6 mmol/L, p=0.03). In addition, higher cortisol levels were observed in the morning vs evening (128.59±34 vs 67.79±26 ng/mL, p<0.001).
Conclusions
Morning repeated sprint exercise conducted in the postprandial state consistent with the protective effect of higher cortisol levels resulted in a smaller reduction in PG levels compared with evening exercise. This highlights the potential influence of exercise timing on glycemic responses and cortisol secretion in the management of T1D.
Objectifs
Cette étude explore l'impact du moment choisi pour un exercice physique, lors d'une période postprandiale (matin ou soir), sur la glycémie chez les personnes atteintes de diabète de type 1 (DT1) au cours de sprints courts sur un ergomètre.
Méthodes
Dix hommes (n=7) et femmes (n=3) sédentaires en bonne santé, atteints de diabète de type 1, âgés de 22.8 ± 2.8 ans, avec un historique de diabète de 9.7 ± 5.5 ans et des niveaux d'hémoglobine glyquée A1C de 8.6 ± 1.2%, ont subi un dépistage complet ainsi qu'une évaluation de leur état de santé et de leur condition physique avant de participer à l'étude, sous la supervision d'un médecin. Chaque participant a participé à deux séances d'exercice postprandiales sur des jours distincts: une le matin à 8 heures et une le soir à 20 heures, toutes deux effectuées 60 minutes après un repas standardisé.
Résultats
L'exercice du matin a montré une réduction moins prononcée des niveaux de glucose plasmatique par rapport aux sessions du soir (-2.01 ± 1.24 mmol/L contre -3.56 ± 1.6 mmol/L, P=0.03). En outre, des niveaux de cortisol plus élevés ont été observés le matin par rapport au soir (128.59 ± 34 ng/mL contre 67.79±26 ng/mL, P<0.001).
Conclusions
Des exercices répétés de sprint effectués le matin à l'état postprandial, en accord avec l'effet protecteur de taux de cortisol plus élevés, ont entraîné une réduction moins importante des niveaux de glucose plasmatique par rapport à ceux effectués le soir. Cela met en évidence l'influence potentielle du moment de l'exercice sur les réponses glycémiques et la sécrétion de cortisol dans la gestion du DT1.